La consultation est désormais terminée, une synthèse des observations sera prochainement disponible.
Sur le compostage des biodéchets, il faut être attentif à l'utilisation ultime du compost. Les biodéchets ménagers ne seront pas exempts de produits toxiques : résidus de médicaments (hormones, antibiotiques, etc.). Il faut exclure donc toutes les plantes à destination alimentaire humaine (fruits, légumes, céréales, etc. Pour les plantes ornementales, veiller à la non diffusion de ces résidus toxiques dans les sols et les nappes.
Sur la réparation d'objets, il faut faciliter l'installation d'artisans professionnels : cordonniers, plombiers, couturiers, réparateurs d'électroménager, menuisiers. Pour cela prévoir des cycles de formation qualifiante à ces différents métiers, des aides à l'installation. Cela est à étudier avec la chambre de l'artisanat du commerce.
Pour lutter contre les décharges sauvages : ouvrir les déchetteries gratuitement à tous les acteurs professionnels même non métropolitains.
itNos préoccupations associatives portent sur les équipements mis à disposition des personnes isolées à mobilité empêchée (pas de voiture, et pas d'entourage pouvant l'aider ou en situation de handicap...) pour faire son devoir de citoyen dans le tri des déchets ménagers dangereux (produits de bricolage, d'entretien ménagers, jardinage...), lesquels se retrouvent régulièrement dans les tas d'encombrants ou dans les poubelles grises (donc le vrac, le déchet ultime). Le service de collecte mobile comme il fonctionne n'est pas une solution car est trop complexe dans son calendrier et symbolique dans son fonctionnement (situation géographique pas toujours visible des habitants, médiatisation peu développée...Une fausse solution alors que c'est un moyen et un outil ingénieux
quand une personne souhaite vider sa cave ou son grenier , son esprit citoyen n'est pas toujours éveillé et certains ne vont pas dans les déchetteries spécialisées . Certains syndic de copropriété négligent totalement.
En effet, c'est le cas dans le quartier des Aubes au 6, rue Val marie: le dépôt sauvage d'encombrants (parfois fournis en produits de bricolage, peinture, huile de vidange sur le trottoir
Depuis presque 1 an, j'essaye de montrer l'exemple mais ça suit pas toujours: dés qu'il y a un encombrant que je peux soulever , je le mets sur l'espace hachuré en blanc (interdiction de stationner) situé en contrebas du trottoir mais bien sûr les automobilistes (nombreux dans cette rue au stationnement gratuit) les remettent sur le trottoir .
J'ai envoyé un mail et teléphoné au syndic d'immeuble, tenté de sensibiliser un ou deux propriétaires qui sont totalement d'accord mais restent inertes pour revendiquer auprès de leur syndic ou de notre mairie une information géolocalisé et hyper visible de dépôt d'encombrants en attendant la pause d'une caméra (car beaucoup d'autres voisins de cet immeuble déposent aussi leurs encombrants).
SOS piétons! le trottoir aux piétons et aux poussettes.
Bonjour!
Je regrette qu'il n'y ait pas eu une communication plus précise (par ex: au moins à l'intention des citoyens qui firent des réclamations via le service technique gestion des déchets de la Métropole ou via Montpellier au quotidien ou via les comités de quartier. Je me suis plusieurs fois exprimer depuis 2014 sur les problématiques suivantes:
- demander aux cadres du service technique "propreté, déchets..." une vigilance accrue dés lors qu'un citoyen ou une personne morale (associations) fait un signalement/ encombrants dangereux, déchets toxiques sur la voie publique...
Idem pour le suivi: avec le comité de quartier nous n'avons jamais eu le compte-rendu, les conseils et les équipements suite à une étude faite par la Métropole au sujet des points noirs "Encombrants" dans le quartier des Aubes.
L'expertise de l'usager devrait avoir au moins autant de valeur que celle du technicien et de l'élu (e)
AUTRE SUJET: la collecte des déchets ménagers toxiques sur le Domaine publique
oui parlons en de ces vieux flacons de produits de bricolage, produits ménagers où sur l(emballage est bien préciser la toxicité , parfois létale, mortelle... Pour autant, ce type de déchets désignée par l'institution nationale ADEME comme "Déchets ménagers dangereux" est très insuffisamment prise en compte par les pouvoirs publics (nationaux, régionaux et locaux) au regard de la dangerosité.
Conclusion, on retrouve régulièrement sur le trottoir ou dans les poubelles grises (en ville comme en campagne, voire en nature sauvage) ces produits toxiques pour tous. Il suffit qu'un enfant ou des jeunes tirent un coup de pied dans le tas de déchets ou tente de le récupérer et on frôle le drame voire le liquide dangereux se répand dans la rue, sur les doigts...
Bonjour,
Former la population à la réparation de petit et de gros électroménager au sein des Maisons pour Tous, cela éviterait de jeter.
Tenir des stands de conseils en réparation sur la Métropole.
Mettre en place des ateliers de réparation sur l'ensemble du territoire de la Métropole.
Appeler un numéro gratuit (comme pour le numéro vert de la Métropole) pour avoir des conseils en réparation de petit et gros électroménager. .
Aujourd'hui, il manque énormément de technicien réparateur en électroménager. Pourquoi ne pas mettre en place un centre de formation pour former nos jeunes ?
Aujourd'hui, il faut compter au moins 15 jours pour l'intervention d'un technicien en.gros électroménager (Lave-linge, lave-vaisselle, sèche-linge...)
Pas étonnant que des machines à laver ou lave-vaisselle finissent au pied de nos immeubles !
Retrouvez-moi au Repair Café Grand Montpellier pour échanger de vive voix.
Bien cordialement,
Rafigue
Inciter au compostage dans tous les foyers et proposer des équiquements adaptés, mettre en avant l'aspect financier car la gestion du compost revient moins cher que la gestion des autres déchets. Composter fait diminuer de 30% le volume des dechets ménagers, limite la formation de luxiviats en decharge et necessite moins d'énergie lors de l'incineration car reduit l'humidité de la poubelle.
Faciliter et développer le retour à la consigne.
Interdire le plastique dès que cela est possible
Mettre en avant la consigne : modifier les phrases "le verre se recycle à l'infini" car l'énergie n'est hélas pas infinie
Sensibiliser sur comment la gestion des déchets est faite (réquisitionner les panneaux publicitaires). Montrer que moins de déchets = moins d'impôts (hélas il n'y a que l'argent qui compte pour certaines personnes)
Avantages pour ceux suivant des formations de compostages et les deployant
La métropole offre un portail de signalement, c'est bien. Encore faudrait elle qu'elle réponde. Les signalements 521678 du 26/9 et 519728 du 8/9 n'ont eu aucun effets. Nous avons besoin de plus de bacs jaunes qui débordent car vidés une fois par semaine alors que les noirs vidés tous les jours sont souvent peu remplis. Concrètement nous demandons l'échange de 2 bacs noirs et un jaune contre 1 noir et 2 jaunes (fond de l'esplanade de Celleneuve). Je vous invite à vérifier cette situation dans toute la ville pour optimiser le volume du recyclage. De gros tonnages sont peut-être en jeu. Merci
Pourquoi ne pas faire comme au Québec soit développer les consignes de canette ou de verre.. Point important : ces points de consignes se trouvent dans les supermarchés qui sont associés à la démarche. Intérêt pour ces derniers : quand une personne ramène sa canette, elle le fait "avaler" par la machine de collecte, la personne reçoit alors automatiquement son avoir ou son remboursement ce même si le déchet n'a pas été acheté dans le magasin. Pas de ressources humaines supplémentaire à mobiliser.... On pourrait élargir ce procédé à tout déchet valorisable comme les piles...
A Vendargues, lors de la distribution semi annuelle de sacs poubelles pour la collecte on nous demande simplement si on fait le tri des bio-déchets. Aucune pédagogie ou incitation pour ceux qui ne le font pas, c'est bien dommage ! Peut-être faut-il multiplier le nombre de "biotubes" ? Par ailleurs le nouveau installé dans le centre est bien moins bien que le précédent...
Outre les composteurs en extérieur et avec jardin, l'usage de lombricomposteurs de petite taille est une solution à envisager à l'échelle de la ville pour promouvoir le cycle des matières organiques et limiter la méthanisation.
A Agde et Pezenas c'est la Sictom qui les met à disposition: https://www.sictom-pezenas-agde.fr/le-compostage/le-lombricompostage/
Heureuse locataire d'une parcelle de jardin familial, je n'exporte aucun déchet de ma parcelle sauf quelques sacs de plantes envahissantes (chiendent, liseron et oxalis très présents à l'ouverture du jardin, mais que j'ai réussi à limiter) que je dépose dans la benne des encombrants d'une déchetterie (pour ne pas polluer le compost issu des bennes de déchets verts). J'utilise du broyat pour pailler mes cultures et limiter ma conso d'eau, mais je dois aller le chercher à 6km de ma parcelle (à Malbosc, VerPoPa met à disposition du broyat produit par un élagueur).
Je constate que beaucoup de mes voisins de jardin ne paillent pas leurs cultures, ne recyclent pas sur place leurs déchets de jardin (plantes ne produisant plus) et construisent des tas de déchets verts que la Métropole fait exporter par une entreprise privée.
Je rêve d'actions pédagogiques dans ce jardin familial ouvert depuis avril 2022 et d'un dépôt de broyat par des élagueurs directement dans le jardin familial.
Pilote du compostage de biodéchets de cuisine dans ma résidence de 935 logements, je constate que les bacs en plastique de 455l donnés par la Métropole sont inadaptés, car remplis trop vite (1 à 4 semaines) avant que les micro-organismes aient eu le temps de commencer leur travail, d'où une forte consommation de broyat (issu de nos espaces verts) et un compost assez grossier. Aussi la résidence a acheté 17 bacs en bois (850l) et nous obtenons désormais un compost de bonne qualité.
Du coup nous avons 16 bacs en plastique inutilisés et stockés dans un local. Quel gâchis !
Malgré une info renouvelée (affichage dans les entrées, site web de la résidence), nous avons atteint en 2 ans un plafond de 16% des logements qui compostent (100 logements déclarés et environ 50 logements non déclarés) qui compostent. Il existe donc une marge théorique de progression, il me semble que seule une sensibilisation générale orchestrée par les pouvoirs publics peut nous faire avancer.
^Message à l'attention de la Métropole : dans ce cas, choisir le prestataire parmi les pédagogues pour adultes plutôt que parmi les publicitaires ou le service technique de la Métropole
Le recyclage consomme beaucoup d'énergie et la limitation des déchets doit être une priorité. L'incitation auprès de la population doit être financière et pas que idéologique : incitation au réemploi des emballages venus par les professionnels et mise en place de consigne sur le verre et autre.
L'achat de tout le vrac doit être moins cher que les même produits emballés pour aller dans cette direction.
Sensibiliser à une alimentation biologique car les pesticides non seulement polluent les sols mais détruisent la biodiversité : mise en relation des producteurs bio et des écoles collèges et lycées et structures publiques.
Mettre en avant les alternatives déjà présentes sur la métropole.
Limiter les déchets, voilà le projet essentiel sur lequel il faudrait se concentrer : Le meilleur des déchets est celui qui n'existe pas.
Donc favorisons les magasins de vrac, le retour ses consignes, le réemploi ; en aidant financièrement toutes les actions allant dans ce sens car économiquement cela semble compliqué.
Et il faut le faire à l'échelle de la métropole entière en sortant de Montpellier...
L'expression "Zéro Déchet" mériterait d'être débattue. Issue de la traduction de "Zero Waste", il conviendrait de l'orienter dans le sens "Zéro Gaspillage" car il apparaît illusoire d'atteindre 0 déchet mais tout le monde sera d'accord sur l'objectif de supprimer toute forme de gaspillage (un autre pan de la sobriété) !
Sur les autres politiques "zéro" (plastique, jetable, etc.), l'appui d'études d'analyse de cycle de vie serait bénéfique pour éviter des solutions qui, certes, seraient meilleures d'un point de vue restreint "déchet" mais défavorables en termes d'émissions carbone plus globales !
Dans les actions à promouvoir, il y a aussi celles visant à sensibiliser nos parlementaires à l'interdiction de mise en marché de certains produits. Un seul exemple : le protoxyde d'azote (gaz dont le potentiel de réchauffement est 10 fois plus important que le méthane !) dont les déchets sont un véritable fléau.
Pour le reste, c'est très complet si les moyens humains suivent !
Pas compris le 2ème paragraphe ni la dernière phrase
J'aime l'idée d'interdire certains produits , même pour une métropole (à l'image de la ZFE)
En réponse au compte "Les Aubes"
Sur le 2ème point, un exemple : une gourde en plastique recyclé peut avoir un meilleur bilan environnemental qu'une gourde en aluminium ! Pourtant dans une politique "zéro" plastique, on s'affranchirait du matériau par dogmatisme. Voilà pourquoi une vision complète par une ACV sur l'ensemble du cycle de vie (et pas uniquement sur le déchet produit) est nécessaire et utile.
Sur le dernier point, si vous avez lu le programme proposé, vous avez vu que les actions nécessitent soit des moyens humains, soit des moyens financiers. Compte tenu des contraintes financières pesant sur les collectivités publiques (dont Montpellier3M), on peut s'interroger sur les moyens qui seront alloués sur les 6 prochains années dans un contexte très incertain. C'est le sens de mon propos.
Dans vos actions, qui vont dans le bon sens, je ne vois pas assez d'éducation pour limiter ses déchets. On parle beaucoup de tri et de recyclage, mais comme vous le dites à certains endroits, l'important est principalement de générer moins de déchets. Donc il faut apprendre à acheter des produits moins emballés, à ré-utiliser des contenants, à réparer les objets et surtout être conscient que le tri ne fait pas tout, car peu de déchets peuvent être réellement recyclés.
Sur le compostage des biodéchets, il faut être attentif à l'utilisation ultime du compost. Les biodéchets ménagers ne seront pas exempts de produits toxiques : résidus de médicaments (hormones, antibiotiques, etc.). Il faut exclure donc toutes les plantes à destination alimentaire humaine (fruits, légumes, céréales, etc. Pour les plantes ornementales, veiller à la non diffusion de ces résidus toxiques dans les sols et les nappes.
Sur la réparation d'objets, il faut faciliter l'installation d'artisans professionnels : cordonniers, plombiers, couturiers, réparateurs d'électroménager, menuisiers. Pour cela prévoir des cycles de formation qualifiante à ces différents métiers, des aides à l'installation. Cela est à étudier avec la chambre de l'artisanat du commerce.
Pour lutter contre les décharges sauvages : ouvrir les déchetteries gratuitement à tous les acteurs professionnels même non métropolitains.
itNos préoccupations associatives portent sur les équipements mis à disposition des personnes isolées à mobilité empêchée (pas de voiture, et pas d'entourage pouvant l'aider ou en situation de handicap...) pour faire son devoir de citoyen dans le tri des déchets ménagers dangereux (produits de bricolage, d'entretien ménagers, jardinage...), lesquels se retrouvent régulièrement dans les tas d'encombrants ou dans les poubelles grises (donc le vrac, le déchet ultime). Le service de collecte mobile comme il fonctionne n'est pas une solution car est trop complexe dans son calendrier et symbolique dans son fonctionnement (situation géographique pas toujours visible des habitants, médiatisation peu développée...Une fausse solution alors que c'est un moyen et un outil ingénieux
quand une personne souhaite vider sa cave ou son grenier , son esprit citoyen n'est pas toujours éveillé et certains ne vont pas dans les déchetteries spécialisées . Certains syndic de copropriété négligent totalement.
En effet, c'est le cas dans le quartier des Aubes au 6, rue Val marie: le dépôt sauvage d'encombrants (parfois fournis en produits de bricolage, peinture, huile de vidange sur le trottoir
Depuis presque 1 an, j'essaye de montrer l'exemple mais ça suit pas toujours: dés qu'il y a un encombrant que je peux soulever , je le mets sur l'espace hachuré en blanc (interdiction de stationner) situé en contrebas du trottoir mais bien sûr les automobilistes (nombreux dans cette rue au stationnement gratuit) les remettent sur le trottoir .
J'ai envoyé un mail et teléphoné au syndic d'immeuble, tenté de sensibiliser un ou deux propriétaires qui sont totalement d'accord mais restent inertes pour revendiquer auprès de leur syndic ou de notre mairie une information géolocalisé et hyper visible de dépôt d'encombrants en attendant la pause d'une caméra (car beaucoup d'autres voisins de cet immeuble déposent aussi leurs encombrants).
SOS piétons! le trottoir aux piétons et aux poussettes.
Bonjour!
Je regrette qu'il n'y ait pas eu une communication plus précise (par ex: au moins à l'intention des citoyens qui firent des réclamations via le service technique gestion des déchets de la Métropole ou via Montpellier au quotidien ou via les comités de quartier. Je me suis plusieurs fois exprimer depuis 2014 sur les problématiques suivantes:
- demander aux cadres du service technique "propreté, déchets..." une vigilance accrue dés lors qu'un citoyen ou une personne morale (associations) fait un signalement/ encombrants dangereux, déchets toxiques sur la voie publique...
Idem pour le suivi: avec le comité de quartier nous n'avons jamais eu le compte-rendu, les conseils et les équipements suite à une étude faite par la Métropole au sujet des points noirs "Encombrants" dans le quartier des Aubes.
L'expertise de l'usager devrait avoir au moins autant de valeur que celle du technicien et de l'élu (e)
AUTRE SUJET: la collecte des déchets ménagers toxiques sur le Domaine publique
oui parlons en de ces vieux flacons de produits de bricolage, produits ménagers où sur l(emballage est bien préciser la toxicité , parfois létale, mortelle... Pour autant, ce type de déchets désignée par l'institution nationale ADEME comme "Déchets ménagers dangereux" est très insuffisamment prise en compte par les pouvoirs publics (nationaux, régionaux et locaux) au regard de la dangerosité.
Conclusion, on retrouve régulièrement sur le trottoir ou dans les poubelles grises (en ville comme en campagne, voire en nature sauvage) ces produits toxiques pour tous. Il suffit qu'un enfant ou des jeunes tirent un coup de pied dans le tas de déchets ou tente de le récupérer et on frôle le drame voire le liquide dangereux se répand dans la rue, sur les doigts...
Bonjour,
Former la population à la réparation de petit et de gros électroménager au sein des Maisons pour Tous, cela éviterait de jeter.
Tenir des stands de conseils en réparation sur la Métropole.
Mettre en place des ateliers de réparation sur l'ensemble du territoire de la Métropole.
Appeler un numéro gratuit (comme pour le numéro vert de la Métropole) pour avoir des conseils en réparation de petit et gros électroménager. .
Aujourd'hui, il manque énormément de technicien réparateur en électroménager. Pourquoi ne pas mettre en place un centre de formation pour former nos jeunes ?
Aujourd'hui, il faut compter au moins 15 jours pour l'intervention d'un technicien en.gros électroménager (Lave-linge, lave-vaisselle, sèche-linge...)
Pas étonnant que des machines à laver ou lave-vaisselle finissent au pied de nos immeubles !
Retrouvez-moi au Repair Café Grand Montpellier pour échanger de vive voix.
Bien cordialement,
Rafigue
Inciter au compostage dans tous les foyers et proposer des équiquements adaptés, mettre en avant l'aspect financier car la gestion du compost revient moins cher que la gestion des autres déchets. Composter fait diminuer de 30% le volume des dechets ménagers, limite la formation de luxiviats en decharge et necessite moins d'énergie lors de l'incineration car reduit l'humidité de la poubelle.
Faciliter et développer le retour à la consigne.
Interdire le plastique dès que cela est possible
Mettre en avant la consigne : modifier les phrases "le verre se recycle à l'infini" car l'énergie n'est hélas pas infinie
Sensibiliser sur comment la gestion des déchets est faite (réquisitionner les panneaux publicitaires). Montrer que moins de déchets = moins d'impôts (hélas il n'y a que l'argent qui compte pour certaines personnes)
Avantages pour ceux suivant des formations de compostages et les deployant
La métropole offre un portail de signalement, c'est bien. Encore faudrait elle qu'elle réponde. Les signalements 521678 du 26/9 et 519728 du 8/9 n'ont eu aucun effets. Nous avons besoin de plus de bacs jaunes qui débordent car vidés une fois par semaine alors que les noirs vidés tous les jours sont souvent peu remplis. Concrètement nous demandons l'échange de 2 bacs noirs et un jaune contre 1 noir et 2 jaunes (fond de l'esplanade de Celleneuve). Je vous invite à vérifier cette situation dans toute la ville pour optimiser le volume du recyclage. De gros tonnages sont peut-être en jeu. Merci
Pourquoi ne pas faire comme au Québec soit développer les consignes de canette ou de verre.. Point important : ces points de consignes se trouvent dans les supermarchés qui sont associés à la démarche. Intérêt pour ces derniers : quand une personne ramène sa canette, elle le fait "avaler" par la machine de collecte, la personne reçoit alors automatiquement son avoir ou son remboursement ce même si le déchet n'a pas été acheté dans le magasin. Pas de ressources humaines supplémentaire à mobiliser.... On pourrait élargir ce procédé à tout déchet valorisable comme les piles...
A Vendargues, lors de la distribution semi annuelle de sacs poubelles pour la collecte on nous demande simplement si on fait le tri des bio-déchets. Aucune pédagogie ou incitation pour ceux qui ne le font pas, c'est bien dommage ! Peut-être faut-il multiplier le nombre de "biotubes" ? Par ailleurs le nouveau installé dans le centre est bien moins bien que le précédent...
Outre les composteurs en extérieur et avec jardin, l'usage de lombricomposteurs de petite taille est une solution à envisager à l'échelle de la ville pour promouvoir le cycle des matières organiques et limiter la méthanisation.
A Agde et Pezenas c'est la Sictom qui les met à disposition: https://www.sictom-pezenas-agde.fr/le-compostage/le-lombricompostage/
Heureuse locataire d'une parcelle de jardin familial, je n'exporte aucun déchet de ma parcelle sauf quelques sacs de plantes envahissantes (chiendent, liseron et oxalis très présents à l'ouverture du jardin, mais que j'ai réussi à limiter) que je dépose dans la benne des encombrants d'une déchetterie (pour ne pas polluer le compost issu des bennes de déchets verts). J'utilise du broyat pour pailler mes cultures et limiter ma conso d'eau, mais je dois aller le chercher à 6km de ma parcelle (à Malbosc, VerPoPa met à disposition du broyat produit par un élagueur).
Je constate que beaucoup de mes voisins de jardin ne paillent pas leurs cultures, ne recyclent pas sur place leurs déchets de jardin (plantes ne produisant plus) et construisent des tas de déchets verts que la Métropole fait exporter par une entreprise privée.
Je rêve d'actions pédagogiques dans ce jardin familial ouvert depuis avril 2022 et d'un dépôt de broyat par des élagueurs directement dans le jardin familial.
Pilote du compostage de biodéchets de cuisine dans ma résidence de 935 logements, je constate que les bacs en plastique de 455l donnés par la Métropole sont inadaptés, car remplis trop vite (1 à 4 semaines) avant que les micro-organismes aient eu le temps de commencer leur travail, d'où une forte consommation de broyat (issu de nos espaces verts) et un compost assez grossier. Aussi la résidence a acheté 17 bacs en bois (850l) et nous obtenons désormais un compost de bonne qualité.
Du coup nous avons 16 bacs en plastique inutilisés et stockés dans un local. Quel gâchis !
Malgré une info renouvelée (affichage dans les entrées, site web de la résidence), nous avons atteint en 2 ans un plafond de 16% des logements qui compostent (100 logements déclarés et environ 50 logements non déclarés) qui compostent. Il existe donc une marge théorique de progression, il me semble que seule une sensibilisation générale orchestrée par les pouvoirs publics peut nous faire avancer.
^Message à l'attention de la Métropole : dans ce cas, choisir le prestataire parmi les pédagogues pour adultes plutôt que parmi les publicitaires ou le service technique de la Métropole
Le recyclage consomme beaucoup d'énergie et la limitation des déchets doit être une priorité. L'incitation auprès de la population doit être financière et pas que idéologique : incitation au réemploi des emballages venus par les professionnels et mise en place de consigne sur le verre et autre.
L'achat de tout le vrac doit être moins cher que les même produits emballés pour aller dans cette direction.
Sensibiliser à une alimentation biologique car les pesticides non seulement polluent les sols mais détruisent la biodiversité : mise en relation des producteurs bio et des écoles collèges et lycées et structures publiques.
Mettre en avant les alternatives déjà présentes sur la métropole.
Limiter les déchets, voilà le projet essentiel sur lequel il faudrait se concentrer : Le meilleur des déchets est celui qui n'existe pas.
Donc favorisons les magasins de vrac, le retour ses consignes, le réemploi ; en aidant financièrement toutes les actions allant dans ce sens car économiquement cela semble compliqué.
Et il faut le faire à l'échelle de la métropole entière en sortant de Montpellier...
L'expression "Zéro Déchet" mériterait d'être débattue. Issue de la traduction de "Zero Waste", il conviendrait de l'orienter dans le sens "Zéro Gaspillage" car il apparaît illusoire d'atteindre 0 déchet mais tout le monde sera d'accord sur l'objectif de supprimer toute forme de gaspillage (un autre pan de la sobriété) !
Sur les autres politiques "zéro" (plastique, jetable, etc.), l'appui d'études d'analyse de cycle de vie serait bénéfique pour éviter des solutions qui, certes, seraient meilleures d'un point de vue restreint "déchet" mais défavorables en termes d'émissions carbone plus globales !
Dans les actions à promouvoir, il y a aussi celles visant à sensibiliser nos parlementaires à l'interdiction de mise en marché de certains produits. Un seul exemple : le protoxyde d'azote (gaz dont le potentiel de réchauffement est 10 fois plus important que le méthane !) dont les déchets sont un véritable fléau.
Pour le reste, c'est très complet si les moyens humains suivent !
Pas compris le 2ème paragraphe ni la dernière phrase
J'aime l'idée d'interdire certains produits , même pour une métropole (à l'image de la ZFE)
En réponse au compte "Les Aubes"
Sur le 2ème point, un exemple : une gourde en plastique recyclé peut avoir un meilleur bilan environnemental qu'une gourde en aluminium ! Pourtant dans une politique "zéro" plastique, on s'affranchirait du matériau par dogmatisme. Voilà pourquoi une vision complète par une ACV sur l'ensemble du cycle de vie (et pas uniquement sur le déchet produit) est nécessaire et utile.
Sur le dernier point, si vous avez lu le programme proposé, vous avez vu que les actions nécessitent soit des moyens humains, soit des moyens financiers. Compte tenu des contraintes financières pesant sur les collectivités publiques (dont Montpellier3M), on peut s'interroger sur les moyens qui seront alloués sur les 6 prochains années dans un contexte très incertain. C'est le sens de mon propos.
Dans vos actions, qui vont dans le bon sens, je ne vois pas assez d'éducation pour limiter ses déchets. On parle beaucoup de tri et de recyclage, mais comme vous le dites à certains endroits, l'important est principalement de générer moins de déchets. Donc il faut apprendre à acheter des produits moins emballés, à ré-utiliser des contenants, à réparer les objets et surtout être conscient que le tri ne fait pas tout, car peu de déchets peuvent être réellement recyclés.